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Mardi 20 Mai 2008 (suite) |
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Nous arrivons à Saint-Jean du Gard vers 14h, il fait très chaud. Nous sommes pressées de nous installer au gîte. |
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Le cadre est idyllique, la maison en meulière est blottie dans un écrin de verdure en bordure de rivière. |
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Notre enchantement fut de courte durée. Le gîte est sale, plein de toiles d'araignées, la literie est plus que tâchée. Les sanitaires et la cuisine sont dans le même état.
A mon retour je me suis plainte à la mairie, mon courrier est resté sans réponse.
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La porte du gîte, aux planches mal jointes, ne ferme qu'avec une grosse pierre et laisse passer l'air, par chance les nuits ne sont pas trop fraîches.
Deux couples de randonneurs qui devaient faire étape, ont préféré reprendre le chemin.
Nous avons fait connaissance avec un groupe de futurs guides très sympathique qui préparait le brevet d'état; lui, n'avait pas le choix du gîte puisque réservé dans le cadre de sa formation.
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Le coin repas et ses toiles d'araignées (derrière ma tête), mais nous ne les voyons pas car nous sommes dans la pénombre |
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Anecdote du jour |
Au coucher, les lattes de mon lit se défont les unes après les autres au moindre mouvement.
Ce fut encore de bons moments de fou rire.
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Si le changement de propriétaire n'a pas été fait, passez votre chemin. |
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Saint-Jean du gard, nous nous attendions à une ville plus attrayante, nous sommes un peu déçues.
A cette fontaine, sur une plaque commémorative il est écrit: Robert-Louis Stevenson, écrivain, randonneur en Cévennes terminait ici son voyage avec un âne (Modestine) le 2 Octobre 1878.
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